mardi 17 juin 2014

X-Men: Days of Future Past

de Brian Singer avec des gens vus dans les X-Men précédents, les jeunes comme les vieux.

Wolveval - à moins que ce soit Serverine  je les confonds tous le temps - va voyager dans le temps afin d’empêcher Le Truc qui provoquera la fin des mutants et de toute l'humanité 40 ans plus tard.

A condition d'accepter la nonchalance du scénario en ce qui concerne la gestion du paradoxe temporel à la base même du flim et que ce même scénar utilise un fait passé sous silence durant *tous* les flim X-Men précédents alors qu'il est juste énorme, alors on peut regarder ce flim et l'oublier tout aussi vite tant il est sans intérêt.

C'est moins puant que X-Men: First Class et que les deux spin-of consacrés à Wolverine - d'façon, je vois pas comment faire pire - mais ça reste mou, édulcoré, prévisible, pas drôle... Voire ridicule: le docteur Trask avec son beau brushing et ses grosses lunettes... Ca ne le fait pas vraiment. Et si Jennifer Lawrence pouvait rester cantonnée à ses Hunger Games, ce serait bonheur.

Il serait temps qu'ils raccrochent et rangent tout ça au placard. Et merci de ne pas faire un reboot, c'est bon là.

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