mardi 4 février 2014

Ender's Game

de Gavin Hood (moi non plus je ne sais pas qui c'est) avec Asa Butterfield, Indiana Jones, Viola Davis, Gandhi...

Cinquante ans après avoir repoussé une invasion extraterrestre, la Terre est sur le pied de guerre pour botter à nouveau le cul aux aliens pas bô qui fourbissent leur armes à nos frontières.

Je n'ai pas lu la trilogie dont est tirée ce flim (d'façon, lire ça sert à rien et j'ai pas le temps. Déjà que je n'ai pas fini un quarantième Pratchett, la bio de Jean Sarrus, Dome tome 1... alors bon... Voilà !) ni la nouvelle de Heinlein dont est tiré Starship Trooper. Je me contente donc des flims,  et comme dire... Il n'y a pas un procès en cours ?

Hormis le fait qu'Ender éprouve une forte empathie pour ses ennemis en général et les alien en particulier alors que Johny Rico, lui, il veut juste crever tous ces gros scarabées de merde  que trouve-t-on dans Ender's Game: une société totalitaire qui envoie ses enfants combattre des aliens insectoïdes vaguement psychic sur leur propre planète sous couvert de prétextes douteux. Ouais, on est pas loin du chef d'oeuvre tout en légèreté de Verhoeven. D'ailleurs à y regarder de plus prêt, le personnage de Ender me fait quand même un peu penser à celui de Carl Jenkins, le psy de Startship Troopers.

Mais faisons fi de cela. Après tout, ces similitudes concentrées sur les 2 heures du long métrage, sont peut-être juste le fruit des scénaristes fainéants sur les bords. Le flim est comment ? Bin, heu... Entre des parents tout marris que leur 3eme gamin soit également jeté de l'armée mais qui la scène d'après refusent qu'il y retourne et les pas beaux qui font rien qu'à martyriser Ender mais qui va finir par leur casser la gl à tous, surtout à lui là, le petit tout moche, il ne reste pas grand chose, et ce n'est pas les combats en apesanteur qui vont sauver le bazar. D'autant plus que des alien, dans ce premier - et probablement dernier vu la catastrophe au box office - volet de la trilogie, il n'y en a quasi pas.

Globalement j'ai trouvé ça chiant, prévisible (le coup du pilote kamikaze... mais quelle surprise !) et au final foutrement dispensable.

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