mercredi 3 août 2011

Red Riding Hood

de... une gonzesse avec... des acteurs pour djeunz et Gary Oldman qui insuffle un double effet Kisscool: ça crédibilise le projet et il gagne de la tune pour refaire le carrelage de sa cuisine.

Une ch'tit village est la victime du retour d'un loup garou après 20 ans peinard (Un peu comme dans Wolf Man donc... mais pourquoi reviennent-ils après 20 ans d'absence ? Il y a surement eu un colloque de loups garous quelque part et la fête s'est un poil éternisée). Un envoyé de l'église spécialiste du sujet, Gary Oldman, arrive pour régler le problème.

Des acteurs splendides, un scénar splendide, une réalisation magistralement splendide, le tout servi par des trucages éblouissants de splenditude. Mention spécial aux splendides décors qui sont au moins aussi biens que ceux de Adventure Land de Disney Land Paris. Si Twilight ou I'm number 4 sont pour vous splendides, alors foncez, sinon, fuyez à toutes jambes et tapez vous Company of Wolves de Neil Jordan qui est, lui, une vraie adaptation adulte de l'histoire du petit chaperon rouge.

Ouais, elle est à poil.

Note: j'ai tenu 35 minutes, j'ai vu l'heure restante de ci, de là en 20 minutes. C'est la pire bouse que j'ai vue depuis des lustres. Tout y est atrocement ringard, ampoulé, convenu, idiot, gnangnan, incohérent... Dramatiquement sérieux et sans aucun recul salvateur.

De la m-e-r-d-e.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire